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You had your best-laid plans and then COVID-19 came along and hammered the entire economy. But you’ve got this – if you have the right information. Join Rob Carrick and Roma Luciw on Stress Test, a podcast guiding you through one of the biggest challenges your finances will ever face.

ROB : De nos jours, il est facile de faire des achats. En quelques clics, vous recevez directement à votre porte de nouveaux vêtements, des appareils électroménagers ou des meubles. C’est un moyen rapide de remplir votre maison et de vider votre compte en banque.

ROMA : Pourtant, il existe une autre façon de faire des achats. Une solution qui respecte davantage l’environnement et le budget de votre ménage.

ROB : Bienvenue à Test de résistance, une baladodiffusion sur les finances personnelles pour les milléniaux et les membres de la génération Z. Je m’appelle Rob Carrick, je suis chroniqueur financier au Globe and Mail.

ROMA : Et je suis Roma Luciw, rédactrice en chef de la section des finances personnelles du Globe and Mail.

ROB : Le conseil le plus évident en matière de finances personnelles, c’est qu’il faut limiter ses achats au minimum, et surtout éviter les achats impulsifs. Mais quand vous avez besoin de quelque chose, acheter d’occasion est un excellent moyen d’économiser et d’éviter que des articles en parfait état ne se retrouvent rapidement à la poubelle. Nous savons qu’acheter d’occasion n’est pas quelque chose de nouveau pour les personnes à faible revenu. Pour eux, c’est souvent le seul choix possible. Néanmoins, cette façon d’acheter gagne du terrain, à mesure que le coût de la vie augmente. Quelle est la dernière chose que vous avez achetée, Roma? D’occasion, je veux dire.

ROMA : La dernière chose que j’ai achetée d’occasion, c’étaient des patins pour mon fils de 12 ans. L’automne dernier. Dans mon quartier, il y a des groupes d’achat et de vente en ligne très actifs où l’on trouve à peu près n’importe quoi. Beaucoup de parents participent, car il y a beaucoup de choses que les enfants n’utilisent que pendant quelques mois. Mais ces groupes sont également très actifs dans les domaines de l’habillement et des chaussures pour femmes et des articles ménagers. Cela me ramène à l’objet le plus important que nous avons acheté d’occasion, c’est-à-dire notre table de cuisine, pour laquelle nos recherches ont duré un certain temps. Nous avions envisagé d’acheter une table de cuisine neuve. Mais nous n’avions pas réussi à en trouver une qui nous plaise. Nous avons alors envisagé d’en faire fabriquer une, puis nous avons fait le tour de Kijiji, et nous y avons trouvé une magnifique table remise à neuf, en teck. Nous l’avons achetée d’occasion, pas parce que nous voulions acheter d’occasion, mais parce que nous avions trouvé une table que nous aimions, et que nous avons fait une bonne affaire. Je pense donc que c’est ce que les gens recherchent, quelque chose qu’ils aiment, qui leur plaît vraiment. Je sais que nous avons certaines données sur les raisons pour lesquelles les gens achètent d’occasion. Vous voulez en parler un petit peu, Rob?

ROB : Plusieurs sondages ont été faits sur l’achat de seconde main, et l’un d’entre eux révèle qu’environ deux tiers des membres de la génération du millénaire et de la Génération Z veulent acheter d’occasion. Les jeunes s’y intéressent de plus en plus, beaucoup selon moi pour une raison d’accessibilité financière. Tout est devenu si cher. Le logement, le transport, la nourriture. Alors, quand on peut acheter quelque chose d’occasion, cela peut permettre des économies substantielles.

ROMA : Notre première invitée a acheté une robe de mariée d’occasion, alors qu’elle n’est même pas encore fiancée. Nous l’écouterons tout de suite après la pause.

AMY : Je m’appelle Amy. J’ai 26 ans et je vis à Ottawa. Cela fait déjà quelques années que j’achète des objets d’occasion. Cela remonte à la fin de mes études universitaires. J’ai commencé à faire plus d’achats pour ma maison et à investir dans de vrais meubles, pour remplacer mes caisses de lait agencées avec créativité. Puis, j’ai commencé à regarder des sites comme Kijiji, Facebook Marketplace et Poshmark, parce que dans les magasins à bas prix comme Walmart ou Target, la qualité n’était pas aussi bonne que celle des articles achetés d’occasion à des particuliers.

ROMA : Amy est coordinatrice des médias sociaux pour une entreprise de construction pour arrondir ses fins de mois. Elle vend ses articles en ligne et dans les magasins de dépôt-vente de sa ville.

AMY : J’ai vu quelques-uns de mes propres objets, et je suis devenue plutôt bonne dans ce domaine, au point que si mes amis ou ma famille vendent des objets, ils me demandent de les annoncer pour eux. J’ai donc vendu certaines des affaires de ma mère. Au début de l’année, j’ai vendu l’aquarium de mon compagnon. Nous en avons tiré 50 dollars.

ROMA : Sa trouvaille préférée? Une robe de mariée.

AMY : Je sais que c’est fou parce que je ne suis même pas fiancée et que je n’ai pas besoin d’une robe de mariée. Par contre, je veux me marier un jour, et j’ai un partenaire, avec qui nous avons déjà parlé vie commune et mariage. J’ai donc des raisons de croire qu’à un moment donné... Il m’en faudra une. Mais en fait... J’ai pensé que ces robes coûtent des milliers de dollars, et on ne les porte qu’une fois. J’en ai donc trouvé quelques-unes qui me plaisaient. Je les ai regardées. Et que s’est-il passé dans les mois suivants? Leur prix a-t-il baissé? Ont-elles été vendues? Neuve, celle que j’ai fini par acheter coûtait une somme délirante. La personne qui me l’a vendue en voulait au départ 175 dollars. Mais personne ne l’a achetée. En quelques mois, elle a baissé le prix à plusieurs reprises. La première fois, elle l’a baissé à 125 dollars, ce que j’ai trouvé très bien. C’est à ce moment-là que j’ai vraiment commencé à être attentive. Et puis, un jour, j’ai reçu une notification, le prix affiché sur mon téléphone avait chuté de 50 %. La robe ne coûte plus que 64 $. Je l’ai regardée, et je me suis dit qu’elle était vraiment cool. Mais qui ferait un tel achat? Je me suis dit que si je ne le faisais pas, quelqu’un d’autre l’achèterait aujourd’hui, et que je le regretterais. Donc, je me suis dit : « Bon, et si je devais vraiment perdre une fortune, et que je n’avais que de l’argent de poche? Je pourrais dépenser 64 dollars. Et, vous savez, si je ne suis un jour que la fiancée de Dracula à l’Halloween, ce sera un super costume. Et voilà. Elle est à moi maintenant.

ROMA : La robe n’avait aucun défaut. Amy a cherché à comprendre comment elle avait pu faire une si bonne affaire, et elle a découvert qu’elle était la quatrième propriétaire de la robe.

AMY : Ce que j’ai découvert, c’est que la première propriétaire, la propriétaire d’origine, l’avait payée le prix fort en boutique. Elle l’a portée à son mariage pendant une journée, et l’a vendue en ligne à quelqu’un d’autre, qui l’a vendue en ligne à quelqu’un d’autre, qui me l’a vendue à moi. Mais la deuxième et la troisième propriétaire ne l’ont jamais portée. Parce qu’elles l’ont achetée pendant la COVID. Je suis donc retournée à la deuxième propriétaire. Je ne sais pas combien elle l’avait payée, mais elle l’a vendue pour 125 dollars. À la troisième propriétaire. Celle-ci n’a donc pas trop perdu d’argent.

ROMA : Une robe de mariée, ce n’est que l’un des éléments de la liste des plus belles trouvailles d’Amy. Elle a acheté un ensemble de meubles de jardin pour 700 dollars, un canapé de huit pieds pour 175 dollars, des chaises de salle à manger pour 50 dollars et un fauteuil en cuir pour 150 dollars. Au fil des ans, elle a appris à négocier.

AMY : Avec le temps, je suis devenue plus à l’aise pour marchander, surtout depuis que j’ai vu des gens le faire avec moi. Car par nature, je ne veux pas rouler les autres. J’ai appris, au fil des ans, qu’il existe un point de référence qui est valable pour pratiquement tous les achats d’occasion. Si on demande une remise sur le prix indiqué, on obtiendra au maximum une réduction de 20 %. En fonction de la nature de l’article et de son état, il est possible de demander une remise de 10 %, voire de 15 %, mais jamais plus de 20 %. Vous savez, chacun veut avoir l’impression d’avoir fait une bonne vente et d’avoir fait une aussi bonne affaire que vous.

ROMA : Elle a également appris à repérer les signaux avertisseurs, par exemple quand l’annonce ne comporte que des photos d’archives ou des erreurs. Dans ce cas, il faut l’oublier. Elle précise également que la plupart des articles doivent être ramassés. Il faut donc être prêt à se déplacer. Elle a d’autres conseils.

AMY : Si vous allez chez quelqu’un, je vous recommande toujours d’indiquer où vous allez, à quelle adresse et à quelle heure, et de convenir à l’avance avec le vendeur si vous allez apporter de l’argent liquide ou si vous allez faire un virement. Mettez-le par écrit. Je l’ai fait souvent pour de petits objets. Si, sur Facebook Marketplace, je trouve un vêtement qui me plaît, je propose au vendeur de le rencontrer dans un centre commercial, un café ou un endroit situé à mi-chemin et je n’apporte généralement que de l’argent liquide. Mais je choisis un lieu public, c’est plus sûr.

ROMA : Notre prochaine invitée, Andrea, a une fille de 15 mois. Comme beaucoup de jeunes parents, elle a été surprise par le coût de tout le matériel dont on a besoin pour un bébé. Elle a donc décidé d’acheter d’occasion autant qu’elle le pouvait.

ANDREA : J’ai été très surprise par certains objets. L’un des objets qui m’ont le plus marquée est la chaise berçante sur billes. J’adore ces chaises berçantes. Mais elles coûtent très cher. Nous avions donc opté pour une option moins coûteuse. Mais en regardant autour de nous, c’est l’un des objets dont les prix étaient les plus étonnants. J’ai aussi été surprise de voir qu’un porte-bébé peut coûter des centaines de dollars. Ce que nous voulions acheter d’occasion, c’était, je crois, les sauteurs dans lesquels on suspend les bébés pour qu’ils fassent des activités. Ma fille a semblé adorer le sien et l’a utilisé beaucoup plus longtemps que je ne le pensais. Nous en avons trouvé de superbes, d’occasion, sur Marketplace. Nous avons une table d’activités qu’elle a utilisée chez mes parents, et nous avons cherché des objets d’occasion pour les autres maisons où nous allons.

ROMA : Andrea a économisé des centaines de dollars en achetant d’occasion. Elle a obtenu gratuitement un siège Bumbo auprès d’un groupe local de « refus des achats » et n’a dépensé que 50 dollars pour un porte-bébé de marque qui en vaut 129, et 80 dollars pour une chaise longue qui en vaut 180. Elle a également acheté une balançoire d’occasion.

ANDREA : Je n’ai jamais pensé que nous l’achèterions au prix fort. Ces balançoires peuvent coûter très cher. Votre bébé n’aimera pas forcément et il est possible qu’il n’y passe que 5 minutes. D’autres voudront y passer des heures. En tout cas, je n’étais pas prête à dépenser 300 ou 400 dollars pour une balançoire.

ROMA : Elle n’aime pas négocier l’achat du matériel pour son bébé et, bien souvent, elle n’a pas besoin de le faire.

ANDREA : Le groupe de parents est très soudé, et désireux de transmettre des objets à d’autres parents, compte tenu de ce que coûte un enfant de nos jours. Beaucoup d’entre vous le savent, qu’il s’agisse d’inconnus sur Facebook ou simplement de membres de votre famille ou d’amis, par exemple. Mais les parents ont-ils été très généreux dans leurs cadeaux?

ROMA : Andrea et son mari espèrent avoir un autre enfant. Ils ne vendent donc pas leur matériel pour le moment. En attendant, elle le prête à un ami au lieu de le laisser traîner. Après la pause, nous allons nous entretenir avec une femme que ses sœurs appellent la reine de Kijiji.

ROB : Chaque épisode de Test de résistance met en scène des personnes réelles et des experts dans un domaine particulier. Bernadette est une véritable experte de l’achat d’occasion.

BERNADETTE : Mes sœurs m’appellent la reine de Kijiji parce que j’achète, je vends et je donne des objets sur Kijiji depuis environ 12 ans. Je suis propriétaire d’un logement que je loue à Toronto, et je l’ai meublé principalement avec Kijiji. J’ai aussi aidé des gens à se meubler avec des meubles d’occasion pendant de nombreuses années et à se débarrasser d’objets encore en bon état mais dont ils n’avaient plus besoin. Je dirais que la première raison d’acheter d’occasion est économique. J’aime acheter des objets bon marché, ou même les obtenir gratuitement. La deuxième raison, c’est que ces objets sont encore bons. La plupart du temps, ils sont dans un état fabuleux. Tout simplement parce que leur propriétaire n’en a plus l’utilité, ou que la taille n’est plus la bonne. Je déteste voir partir à la décharge des objets qui ne devraient pas s’y trouver.

ROB : Il y a environ cinq ans, elle a commencé à prendre l’achat d’occasion au sérieux.

BERNADETTE : Ma résolution du Nouvel An, il y a probablement cinq ans, a été de ne rien acheter de neuf en janvier. Ensuite, je suis devenue plus ambitieuse. J’ai ajouté février. Combien de temps pouvais-je tenir sans rien acheter de neuf? Évidemment, on a tous besoin de papier hygiénique, et il faut parfois acheter des pneus neufs pour la voiture. Il y en a sur Kijiji, mais je préfère tout de même acheter des pneus neufs. Puis, j’ai décidé que je n’achèterais rien de neuf pendant toute l’année. Si je peux le trouver sur Kijiji... Ou évidemment, sur Marketplace de Facebook. C’est intéressant, et c’est local. Quand j’ai besoin de quelque chose, c’est d’abord là que je regarde. Si je ne trouve pas, je vais sur Kijiji, et souvent je trouve sur Kijiji, tout neuf, vendue par quelqu’un qui a acheté, a essayé mais n’a pas aimé. J’ai déjà acheté une paire de bottillons Blundstone, et la femme de qui je les ai achetées les avait mises, avait détesté la sensation sous la voûte plantaire et les vendait. Elles n’avaient dont été portées qu’une fois, mais je les ai eues à moitié prix.

ROB : Bernadette a une cinquantaine d’années et partage son temps entre Toronto et Saskatoon. Elle possède une maison près de la ville d’Allen, en Saskatchewan, où elle fait certains de ses plus gros achats de seconde main.

BERNADETTE : L’un des achats les plus intéressants que j’ai faits sur Kijiji, c’est une maison sur catalogue de chez Eaton, qui datait je crois de 1900 à 1925 environ. À l’époque, huit ou neuf entreprises de vente sur catalogue vendaient des maisons. Bien avant IKEA, ces entreprises vous expédiaient tout simplement tout ce qui était nécessaire pour construire une maison, des clous aux portes en passant par la toiture. Tout était livré par train. Ce système était surtout utilisé dans les régions rurales du Canada et des États-Unis. Il reste des centaines de milliers de ces maisons sur catalogue. Je cherchais donc quelque chose d’intéressant à installer sur un terrain que je possède dans la petite ville d’Allen. Et j’ai trouvé une maison Eaton de 1917. Elle a deux étages et demi. Il s’agit, je crois, d’une maison d’environ 2 400 mètres carrés sur deux étages plus le grenier, dont le prix demandé était de 5 000 dollars.

ROB : La condition était qu’elle devait être déménagée. Bernadette a l’intention de le faire cet automne. Elle devra également faire certains travaux de construction de base pour que la maison puisse être opérationnelle.

BERNADETTE : Je vais devoir creuser un sous-sol et m’occuper de la plomberie, de l’électricité et de tout ce qui est caché, sous la surface. Cela va me coûter entre 4 000 et 5 000 dollars, plus le coût du déménagement et le coût de la construction du sous-sol. Sans doute 100 000 dollars. Et j’aurai une maison de 1917, de deux étages et demi, en parfait état. Et en plus j’aurai évité qu’une maison se retrouve à la décharge.

ROB : Bernadette a aussi acheté des matériaux de construction d’occasion pour rénover sa maison à la campagne.

BERNADETTE : Nous avons relevé des défauts structurels et il a fallu consolider la structure. Mais il fallait des poutres mesurant au moins 13 pieds de long. Je suis donc allée sur Kijiji et il y avait un homme qui vendait du bois d’occasion provenant d’un silo à grains. Ces silos à grains ont été construits dans les années 30, 40 ou 50 pour la plupart, avec des poutres de deux par six de 15 ou 16 pieds de long, empilées les unes sur les autres. Empilées sur près de 15 mètres de haut. Donc, cet homme a démonté ces poutres de deux par six et m’en a apporté une cinquantaine, pour le quart de ce que j’aurais payé chez Home Depot. Du bois de qualité supérieure en plus. Du sapin Douglas provenant d’arbres qui, j’en suis sûre, ne pourraient plus être abattus aujourd’hui parce que ce serait illégal en raison de leur gigantisme. C’étaient de très vieux arbres. Mais ces arbres avaient déjà été abattus, c’est le grand avantage de l’achat d’occasion. Les arbres avaient été abattus il y a très longtemps. Et soit ils seraient allés à la décharge, soit je les réutilisais pour un projet.

ROB : Elle utilise des outils très courants comme Facebook Marketplace et Kijiji. Elle utilise également un site web qui tient des ventes aux enchères quand une personne âgée déménage dans un logement plus petit et que ses enfants ne veulent pas conserver ses affaires. Pour elle, le marchandage fait partie du jeu.

BERNADETTE : Pour ce qui est du marchandage, j’aime bien penser à cette scène des Monty Python où quelqu’un dit : « Je vais vous donner 5 dollars. Non, non, non, il faut marchander. Vous dites que vous allez me donner un dollar, et je dis que j’en veux dix, puis nous marchandons, et nous nous entendons sur 5 dollars. » Cela fait partie du plaisir. Je pense qu’il ne faut pas exagérer, il ne faut pas que la situation s’envenime et que l’un des protagonistes s’en aille. Mais si la personne est vraiment, très intéressée par le jeu du marchandage, n’hésitez pas.

ROB : Bernadette ne tient à se tourner vers le neuf que pour très peu de choses.

BERNADETTE : Qu’est-ce que je n’achèterais pas d’occasion? Je ne sais pas. Bon. Les sous-vêtements par exemple. Les draps, je peux les acheter d’occasion. Les taies d’oreiller aussi. Vous les lavez à la machine à l’eau chaude, et c’est bon. Vous savez, quand vous dormez à l’hôtel, vous dormez aussi dans des draps usagés. C’est simple.

ROMA : Nous savons que la plupart des gens auront toujours besoin d’acheter des objets neufs, mais nous espérons que cet épisode vous aura ouvert les yeux sur l’utilité et l’intérêt de l’achat d’occasion. Ces histoires prouvent également que vous pouvez économiser des milliers de dollars si vous prenez un peu plus de temps pour acheter d’occasion. Rob, que retenez-vous de ces histoires?

ROB : 1) Vous devez faire un achat important? Dans tous les cas, consultez le marché des utilisateurs pour voir combien vous pourriez économiser. 2) Connaissez vos prix. Si la demande pour un produit d’occasion est forte, cela peut parfois signifier qu’il n’y aura pas d’économies considérables par rapport à l’achat du neuf. 3) Négociez. Il n’y a pas de mal à essayer de négocier le prix, en particulier lorsque vous achetez sur un marché en ligne.

ROMA : Merci d’avoir écouté cet épisode de Test de résistance. Cette émission a été produite par Kyle Fulton et Emily Jackson. Notre productrice exécutive est Kiran Rana. Merci à Amy, Andrea et Bernadette de nous avoir raconté leurs histoires.

ROB : Vous trouverez Test de résistance en anglais (Stress Test) partout où vous écoutez des balados. Si vous avez aimé cet épisode, donnez-nous une note de cinq étoiles et partagez-le avec vos amis.

ROMA : Dans le prochain épisode de Test de résistance... Nous parlons d’anxiété climatique. Pour certains membres de la génération du millénaire et de la génération Z, l’inquiétude concernant la santé de la planète a un impact sur leur lieu de vie, leurs placements et la manière dont ils élaborent leurs plans financiers à long terme.

ROB : En attendant, retrouvez-nous sur le site du Globe and Mail. Merci à tous de nous avoir écoutés.

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